Ils sont allés chercher leur dose de rappel du vaccin contre la COVID-19. Et ils ont tous une raison bien différente de l’avoir fait. Et vous, quelle est votre raison pour booster votre protection?

« La vaccination peut considérablement réduire le taux d’infection et éviter des visites aux soins intensifs, en d’autres mots, prévenir plutôt que guérir. »

Marie-Pier Lefrancois-Tanguay
Inhalothérapeute, Hôpital Maisonneuve-Rosemont

« Je suis allé chercher ma dose de rappel pour réduire les risques de contracter et de transmettre la COVID aux personnes vulnérables. »

Félix Morin
Travailleur social CLSC St-Michel

« Mon devoir, tant au niveau professionnel que personnel, était de me protéger de la forme grave de la maladie pour ainsi mieux protéger ma famille et les résidents d’être malades sévèrement jusqu’à en compromettre leur vie. »

« Il mio dovere, sia al livello professionale che personale, era di proteggermi della forma grave della malattia per poter proteggere i miei : la mia famiglia, i miei residenti, di ammalarsi severamente sino a compromettere la loro vita. »

Fabiola Pannuti
Coordonnatrice, CHSLD Dante

« J’ai reçu ma dose de rappel pour mieux me protéger et protéger les autres contre le virus. Je dirais à ceux et celles qui hésitent de recevoir cette dose de penser aux autres, car le virus ne pense pas lui, il attaque. »

Stéphane Martinelli
Chef de service, hygiène-salubrité et buanderie-lingerie à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont

« Je suis immigrant et je montre ma preuve de vaccination pour montrer que c’est sécuritaire. Pour d’autres personnes, parler avec des gens qui ont été malades de la COVID leur permet de mieux comprendre l’importance de la vaccination. »

Beauduvert Joseph
Organisateur communautaire, CLSC St-Michel

« C’est vraiment pour limiter les risques d’hospitalisation et aussi pour éviter qu’un de mes patients contracte la COVID à cause de moi. »

Eric Skulski
Psychologue CLSC St-Michel

« J’ai pris ma dose de rappel parce que j’essaie de me protéger le plus possible. C’est vraiment apprécié la possibilité de se faire vacciner sur le lieu de travail. »

Sarah Mukendi Bitshilualua
Agente administrative, CLSC St-Michel

« Pour collectivement alléger le réseau de la santé. Je suis convaincue que si chacun maximise sa protection individuelle, collectivement nous serons en rapport de force contre le virus. » 

Maria Barbosa
Chef de secteur, messagerie et transport interne des usagers (brancarderie)

« On connaît tous des amis, des membres de notre famille, des patients qui attendent des soins de toutes sortes et qui ne peuvent pas les obtenir à cause de cas de COVID-19. J’ai hâte que ça finisse. Je suis convaincue que si on est tous vaccinés, ensemble nous atteindrons ce but. »

Dre Nathalie Zan
Médecin de famille en gériatrie et chef de service

« L’absence de plusieurs collègues amène une surcharge de travail sur les autres et on doit constamment réorganiser le travail afin d’assurer des soins sécuritaires. Cette charge de travail peut, à la longue, conduire vers l’épuisement. Il faut se protéger, protéger nos collègues et nos usagers. » 

Jonathan Brière
Directeur, Programmes santé mentale, dépendance et itinérance/Mission universitaire à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal

«La volonté de ​protéger ma famille, le système et moi-même. Aussi, de diminuer mes risques de devoir m’absenter du travail car chacune des personnes du réseau de la santé a son importance, qu’elle soit au chevet du patient ou dans un secteur de soutien.»  

Anne Dubé
Directrice adjointe, Dépistage et vaccination COVID-19

«Je voulais rebooster mon système immunitaire afin de retourner à une vie plus normale. Je voulais également le faire pour motiver les gens autour de moi à le faire à leur tour.»

Hayli Martinez
infirmière scolaire au CLSC Rosemont

«Nous sommes privilégiés d’avoir accès au vaccin. Cela diminue les complications de l’infection. J’ai une amie de mon âge, sans historique médical, qui a eu la COVID à la première vague et qui est inapte au travail depuis 15 mois. Elle ne peut plus faire ses activités quotidiennes, dont s’occuper de ses enfants.»

Dominic Lévesque
Infirmier clinicien, ​chef d’unité au CHSLD ​de​ S​aint-Michel

« Je fais ce que je pense être le meilleur pour moi. Ça signifie de prendre ma dose de rappel. »

Andréa Manseau
Psychoéducatrice CLSC St-Michel

«Pour protéger mon équipe qui a été durement touchée durant cette 5e vague. Nous avons choisi de travailler dans le réseau de la santé pour aider les gens; les aider, c’est aussi les protéger en se faisant vacciner.»

Janie Deschênes
Coordonnatrice clinico- administrative, Programme transversal d’imagerie médicale à ​l’HMR, ​l’HSCO, ​l’IUSMM et ​au CLSC de l’Est​-de-Montréal.
 

«Ma préoccupation première était de m’assurer de na pas propager le virus. Je ne voulais pas avoir sur la conscience les conséquences qu’auraient pu vivre des personnes qui auraient attrapé la maladie à la suite d’une mauvaise décision de ma part.»

Jacques Ste-Croix
Chef de service, hygiène-salubrité et buanderie-lingerie à l’Hôpital Santa Cabrini Ospedale
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