Avez-vous déjà dit « OUI » à quelque chose instantanément, sans même réfléchir? Eh bien, laissez-moi vous raconter comment j’ai relevé le défi lancé par l’équipe des communications d’explorer différents milieux de notre CIUSSS! 

C’est donc à l’Hôpital Santa Cabrini Ospedale que j’ai eu la chance de me transformer en « brancardière d’un jour ». C’est là que j’ai fait la rencontre de Juba, un conducteur passionné avec un cœur plus grand que nature. Préparez-vous à une histoire captivante !

Avant mon stage, je me sentais…  

Incroyablement zen! Je suis arrivée à l’HSCO sans aucune attente, ne sachant pas du tout ce qu’était ou ce que faisait un brancardier. Malgré l’inconnu, j’étais impatiente de découvrir comment se déroulerait ma journée de stage. 

On m’avait donné un seul indice : apporter des chaussures de sport. Ouf! Je suis bien contente de ne pas les avoir oubliées ce matin-là. Un véritable entraînement m’attendait!  

Les moments forts… 

Les interactions entre Juba et les patients touchaient droit au cœur. À travers les mots empreints de douceur et les gestes réconfortants, on ressentait immédiatement la confiance profonde que les patients avaient envers Juba. À chaque instant, Juba accompagnait brièvement un patient hospitalisé d’un service à l’autre, cherchant à apporter un peu de lumière et d’espoir dans une expérience probablement stressante pour eux. Une présence bienveillante qui fait réellement toute la différence. 

Les moments cocasses… 

Vous ne me croirez peut-être pas, mais j’ai transporté un patient sur une civière. Oui, vous avez bien lu! Et devinez qui était ce patient ? Juba lui-même! Cela compte, n’est-ce pas? Je vous assure, cette tâche semblait intimidante au départ. Les gens sous-estimaient sûrement mon talent EXTRAORDINAIRE. Mais vous savez quoi? J’ai réussi, et plus facilement que je ne l’aurais imaginé. Bon, j’ai peut-être heurté quelques coins de murs, mais c’est tout à fait normal pour un premier essai, non? Transporter une civière s’est révélé être beaucoup plus simple que je ne le pensais, surtout avec Juba comme mentor. Ses explications étaient claires et cela rendait la tâche presque aussi agréable que de conduire une voiture à Mario Kart. 

Je vais me souvenir de… 

Dès mon arrivée au sein de l’équipe des brancardiers, j’ai été enveloppée par une chaleur extraordinaire. Les membres m’ont accueilli à bras ouverts, avec un uniforme prêt à l’emploi. Et je ne peux pas passer sous silence la gentillesse incroyable de Juba. Tout au long de la journée, il s’est assuré que je me sente à l’aise et en confiance dans mes tâches. Avec son dynamisme et sa joie de vivre contagieuse, je dois dire que ce n’était pas difficile du tout. 

Juba est véritablement passionné par son travail et il est évident que les patients l’adorent tout autant! Même dans les moments stressants, comme avant ou après une chirurgie, il veille au bien-être de ses patients en leur offrant du réconfort et de la douceur. Sa présence est un véritable rayon de soleil qui illumine les journées de tous ceux qui croisent son chemin. 

Est-ce que ce métier est fait pour moi? 

Sans aucune hésitation, je réponds : ABSOLUMENT. J’ai adoré chaque instant passé en tant que brancardière. L’équipe est unie, les membres s’entraident constamment et c’est vraiment admirable de les voir se soutenir mutuellement face aux défis qui les attendent. Le contact humain avec les patients me touche énormément. Il faut certainement faire preuve d’empathie, de douceur et de patience envers eux. J’ai aussi parcouru des kilomètres et des kilomètres, pour mon plus grand bonheur! Sans aucun doute, j’ai dépassé l’objectif des 10 000 pas par jour. En bref, j’aime quand ça bouge et j’ai vraiment été gâtée pendant mon stage.

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