C’est dans une ambiance de retrouvailles générales, à l’Auditorium du Pavillon Rosemont, que les membres des comités et les super-utilisateurs des quatre directions soutien impliquées dans l’implantation du logiciel de gestion de projets ISIOS se sont rassemblés. Chacun tentait de reconnaître qui se cachait derrière les masques.
Après tout, la première phase d’implantation de ce logiciel s’est faite complètement en virtuel ! Ainsi, la DQÉPÉ, la DPIM, la DRT et la DST étaient représentées lors de cette fête.
En janvier 2021, l’implantation du logiciel a démarré. Le but : avoir une vision globale des projets où plusieurs directions sont impliquées pour être mieux organisé et plus efficace. « Ça comptabilise plus de 140 heures de formation, au moins 50 rencontres de comités de travail juste pour établir les standards inter-direction », affirme Alexandrine J. Lamontagne, chargé de projet dans l’implantation d’ISIOS.
« C’est une grande fierté de souligner le travail accompli. Alors qu’on avait tous un langage différent, des outils différents pour gérer les projets, c’est une belle réussite de voir qu’on réussit aujourd’hui à mieux se comprendre, à travailler ensemble », lance Karine Girard, directrice de la DQÉPÉ.
À plus long terme, l’objectif est dit : devenir un chef de file du réseau de la santé en gestion de projets. « Nous souhaitons implanter les meilleures pratiques en gestion de projets au sein de l’organisation. C’est une priorité organisationnelle. Pour l’instant, ce sont les directions soutien qui débutent le processus. Mais nous souhaitons impliquer d’autres directions dans la démarche », explique Alexandrine.
Ainsi, en installant des bases solides et communes, le logiciel permet un suivi en temps réel des projets en cours. C’est une façon de centraliser l’information pour entre-autre avoir un portrait de la santé globale d’un projet. « Vous devenez maintenant des ambassadeurs ISIOS en ayant participé à personnaliser le logiciel, vous avez joué et jouerez un rôle clé dans l’accompagnement de vos pairs dans le changement », mentionne Karine Girard.
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