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Kim Chhang : l’accueil de la greffe rénale

Depuis quelques semaines déjà, j’ai une nouvelle collègue assise dans mon bureau. Jessica Gagné soutiendra les activités du journal en plus de travailler sur d’autres dossiers du service des communications. Elle travaillait à la clinique externe de la greffe rénale et m’a présenté à sa collègue, Kim Chhang.

Kim est à l’accueil de la clinique externe de la greffe rénale, au centre de soins ambulatoires de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Son grand sourire ensoleille son bureau dès mon arrivée. Sur le mur, des cartes de remerciement accrochées sur un tableau d’affichage témoignent des patients qui apprécient son travail.

Une expertise solide

C’est que l’expertise en néphrologie se diffuse à tous les niveaux. Depuis 11 ans, Kim accueille les patients en attente d’une greffe de rein et ceux qui sont en suivi après une greffe. Elle s’assure que tous les tests sont faits dans un délai acceptable. « Plus les tests sont passés rapidement, plus vite le patient peut savoir s’il est éligible pour une greffe », explique-t-elle. Et elle prend ce rôle très au sérieux.

D’ailleurs, elle voit quotidiennement l’importance de signer la carte de don d’organe. « Une greffe de rein, c’est avoir une deuxième chance à la vie. Je vois les patients aller mieux, avoir une meilleure qualité de vie. »

Un milieu agréable

Kim a appris son travail d’adjointe administrative à la clinique de la greffe au fil des ans. « Quand je suis arrivée ici, je ne connaissais rien à la greffe. J’ai tout appris. Je continue d’apprendre. On est une belle équipe où tout le monde travaille ensemble. On est comme une famille. » Pour elle, l’ambiance de travail est importante. « On passe plus de temps ici qu’à la maison. L’entraide et l’esprit d’équipe, c’est précieux. »

Kim avoue aussi s’attacher aux patients. C’est qu’ils arrivent dans un moment vulnérable de leur vie, au moment où ils espèrent cette fameuse deuxième chance. « Tous les patients sont suivis ici. J’ai l’impression de faire une différence dans leur vie. J’apprends aussi beaucoup d’eux. » L’adjointe administrative aime aussi les accompagner lorsqu’ils appellent à la clinique, inquiets. « Je suis là pour les rassurer en attendant d’avoir la bonne personne qui répondra à leurs questions. »

Gênée et intimidée de me rencontrer, Kim n’aime pas se mettre de l’avant. Pourtant, son travail, comme celui de tous les adjoints administratifs, est essentiel pour le personnel et les patients.

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