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Un départ réussi pour l’équipe du GAP !

GAP

Le Guichet d’accès à la première ligne (GAP) a officiellement vu le jour le 1er juin dernier, grâce au dynamisme remarquable de l’équipe et à la grande mobilisation des partenaires. Découvrons en quoi ce nouveau service sera une valeur ajoutée pour les patients orphelins de notre territoire !

Un acteur clé dans la trajectoire du patient

Le GAP est destiné aux usagers sans médecin de famille qui présentent un besoin de santé ponctuel, non urgent ou semi-urgent.  « Souvent, les patients se rendent à l’urgence pour un ongle incarné, un œil enflé ou une entorse, car ils demeurent sans recours. Pourtant, différentes alternatives se veulent davantage pertinentes pour répondre à leur besoin », affirme Laurence Boisvert, chef de service du Guichet d’accès à la première ligne (GAP). À cet égard, les intervenants du GAP évalueront l’usager afin de le référer vers le professionnel du service approprié, que ce soit la pharmacie, le CLSC, la clinique médicale ou autre.

Un partenariat solide avec les cliniques médicales

Avant, chaque clinique disposait d’une offre de service individuelle pour l’affichage de ses plages horaires disponibles en ligne. Désormais, tout est rassemblé en un seul lieu, soit un orchestrateur de rendez-vous où les GMF peuvent réserver des plages horaires aux patients du GAP. « La clé du succès du projet repose en grande partie sur la relation de proximité que nous avons établie avec nos cliniques médicales et nos pharmacies. Nous sommes vraiment heureux d’avoir consolidé des partenariats avec ces acteurs de premier plan », explique Laurence. Des séances d’information sont d’ailleurs à la portée des cliniques médicales chaque semaine, afin de s’assurer de bien répondre à leurs questionnements et de s’ajuster au besoin

Une équipe créative et dédiée

Vingt-cinq personnes travaillent désormais pour le GAP, soutenues par des agentes administratives de la ligne COVID qui sont venues prêter main-forte pour le démarrage du service. « Ce sont tous des gens qui, à la base, ne se connaissaient pas ! Nous comptions sur des outils existants, il n’en restait pas moins que presque tout était à bâtir », mentionne la chef de service. Celle-ci est remplie de fierté face à la motivation et à la rigueur des membres de son équipe qui ont su s’ajuster aux impondérables des premiers jours. « Des pep-talk, des mises en situation, des algorithmes… On a créé toutes sortes de moyens pour vivre les balbutiements du projet de façon positive. Les intervenants portent même un chandail du GAP ! Ça rehausse le sentiment d’appartenance », ajoute-t-elle.

Des appels à profusion !

Actuellement, le GAP est offert aux personnes de 60 ans et plus de même qu’aux 0 à 17 ans. Dès septembre, toute la population pourra utiliser le service. Lors du premier jour d’opération, 480 usagers ont téléphoné au GAP et 80 rendez-vous ont été attribués. « C’est l’ensemble des directions de notre CIUSSS qui a mis l’épaule à la roue pour bâtir ce nouveau service prioritaire à la population. Je les remercie pour leur précieux soutien ! » conclut Laurence.

Pour en savoir davantage sur le GAP, cliquez ici.

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